La lumière de juillet s'eteint
Sur les grèves et songeur
Je laisse mes pensées se
Perdre á l'horizon flamboyant
La rumeur des vagues m'apaise
Je profite de cet instant précieux
Invitant la chaude brise marine
Á raviver me sens alanguis
Hanté par le mirage des jours
Heureux j'attends que naissent
Au large les échos de la nuit
Mes pensées se noient à l'horizon
Les heures fielnt, la mer soupire
Sous des astres lointains déposés
En une pincée d'or tremblante sur les houles.
Elle ouvre sa danse hypnotique
Et absorbe mon regard décoloré