Alors ça y’est, c’est le grand jour, tu t’en vas
Je te raccompagne jusqu’à la porte tu t’en vas
Regarde, tu as devant toi un grand seigneur au cœur léger
J’ai à nouveau envie de tout sauf de te faire changer de projet
J’ai le sourire jusqu’au oreilles
De te voir déguerpir ma vieille
Alors ça y’est, c’est le grand jour, tu t’en vas
Alors ça y’est, c’est la bonne cette fois
Je regarde tes fesses qui m’échappent et elles sont pas mal ma foi
Je te raccompagne jusqu’à la porte, je voudrais hurler ma joie
Je voudrais pleurer de bonheur, faire des claquettes sur tes talons
Tu ne me brises pas le cœur non non non…
Alors ça y’est, c’est le grand jour, tu t’en vas
Alors ça y’est, cette fois tu ne mens pas
Sache que si tu reviens me tirer par le bras, un soir de détresse ou je ne sais quoi
Si tu reviens sous mon nez cette fois
remuer tes fesses, ça ne marchera pas
Et pense à dire à ta mère que je ne l’aime pas
N’oublie rien s’il te plaît, casse toi
Regarde tu as devant toi un homme absolument ravi
J’ai à nouveau envie de tout sauf de te faire changer d’avis
Alors ça y’est, c’est le grand jour, tu t’en vas
Alors ça y’est, c’est le grand jour la la la
J’ai tant rêvé cet instant, je n’y crois pas, je n’y crois pas
Sache que ce soir la seule larme qui coulera, c’est au nom de tout ce temps perdu avec toi
Va donc en saboter un autre, bon débarras