Une porte qui claque,
Un, deux, trois verres de cognac,
Tombent en vrac, c'est l'attaque et puis elle craque.
Limbes, solitude, lassitude
Se dénude une prélude, inquiétude, interlude, d'une jeune fille prude.
C'est juste une fin un peu banale,
Le final, terminal, histoire sentimentale qui fait
son carnaval.
Puis vient la renaissance, imprudence, on s'en balance, c'est la démence.
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Paroles qui dérapent,
Un, deux, trois, gouttes sur la nappe.
Il l'attrape, elle le frappe.
Prochaine étape, puis on se bagarre, se sépare.
Départ pour un long cauchemard, style polar, en boulevard,
d'un beau bazar.
Ce sont les restes d'une ivresse de jeunesse, de vieillesse, une tendresse qui s'abaisse à la tristesse.
Souvenirs, de ces beaux sourires, quelques soupirs, pire qu'un désir, trace d'un délire.
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée, même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Aux baisers ratures...
Aux parfums impurs...
Aux corps immatures...
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée, même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée, même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Au fait, c'est juste une rupture, morsure, cassure, fêlure, quelque chose qui se casse,
Qui te dépasse, des planchers que l'on débarrasse.
C'est ton cœur que l'on dévaste, c'est quelque chose qui finira
par se tasser.