Triste temps sur le Vercors,
L’oiseau des neiges s’est envolé,
Triste temps sur le Vercors,
L’oiseau des neiges s’est envolé,
Triste temps un ami encore,
Que la dame blanche vient d’emporter
Maître des toits du monde, tu nous laissais souvent rêveur,
Si jeune rentré dans la ronde, extra terrestre à tes heures,
Les hommes partis trop tôt, souvent sont les meilleurs,
Tu seras à jamais placé en haut, hommage à toi petit surfeur,
Tu glisses, tu défies, tu tombes, tu voles,
Les ailes sont dans ta tête sur cette montagne que tu frôles,
Tu glisses, tu défies, tu tombes, tu voles,
Les ailes sont dans ta tête sur cette montagne que tu frôles,
Triste temps sur le Vercors,
L’oiseau des neiges s’est envolé,
Triste temps un ami encore,
Que la dame blanche vient d’emporter
Y’a pas d’interdit, rien que des sensations,
Il n’y a pas de vie sans risque, ce risque nous donne raison,
O toi dame blanche dressée devant nous,
Si belle, si injuste, si forte,
Tu resteras en nous, que le souvenir nous porte,
Tu resteras en nous, que le souvenir nous porte,
Plus petit qu’un sapin, mais égal de la dame blanche,
Gravé à jamais sur nos chemins, à jamais sur nos planches,
Tu glisses, tu défies, tu tombes, tu voles,
Les ailes sont dans ta tête sur cette montagne que tu frôles,
Tu glisses, tu défies, tu tombes, tu voles,
Les ailes sont dans ta tête sur cette montagne que tu frôles,
Triste temps sur le Vercors,
L’oiseau des neiges s’est envolé,
Triste temps un ami encore,
Que la dame blanche vient d’emporter
Mes amis, séchons nos larmes,
La rancœur ne change pas le drame,
Mais lançons-nous encore une fois,
Pour l’amitié, la glisse, pour toi,
Dernier hommage et dernière page,
Partis trop tôt sont des plus sages,
Prenons la piste une dernière fois,
Pour l’amitié, la glisse, pour toi.
Tu glisses, tu défies, tu tombes, tu voles,
Les ailes sont dans ta tête sur cette montagne que tu frôles.
Tu glisses, tu défies, tu tombes, tu voles,
Les ailes sont dans ta tête sur cette montagne que tu frôles.
Tu glisses, tu défies, tu tombes, tu voles,
Les ailes sont dans ta tête sur cette montagne que tu frôles.