La chevelure du temps,
sur les paupières du rêve.
Le fracas des tourments,
L'amour, quand ta bonté l'achève.
Mon bonheur interdit,
Ma descente en enfer.
L'enfer, ton paradis
Ma vie brulée dans ta lumière.
Les heures qui gouttes à gouttes
Dans les bras du silence.
Les gens qui sèment le doute,
La passagère de ma romance.
Le soleil qui descend dans la gueule des loups.
L'absence de notre enfant
La douleur, qui, m'a rendu fou.
(refrain)
Toi, Toi...
Tu es plus belle que la beauté,
Parce que c'est toi.
Qui l'a inventée,
Toi...
Tu es plus belle que la beauté.
Elle n'existait pas,
Avant de te rencontrée.
Ma vie pas de l'existence,
Le vide autour du vide.
Ta présence, ton absence,
L'espoir qui s'accroche au suicide.
Tout ce qu'on ne sait pas donner,
La tendresse en retard,
Le monde abandonné,
Je suis une banlieue de ton regard.
(refrain)
Toi, Toi...
Tu es plus belle que la beauté,
Parce que c'est toi.
Qui l'a inventée,
Toi...
Tu es plus belle que la beauté.
Elle n'existait pas,
Avant de te ressemblée.
Les bras tendu au fond du temps passé,
La torture de mes mains,
Quand j'écris sur tes seins.
Tes jambes ouvertes,
Pour mon éternité.
Aujourd'hui grand pardon au nom de la passion.
Le soleil que descend,
Dans la gueule des loups.
L'absence de notre enfant,
La douleur qui m'a rendu fou.
Toi, Toi...
Tu es plus belle que la beauté,
Parce que c'est toi.
Qui l'a inventée,
Toi...
Tu es plus belle que la beauté.
Elle n'existait pas,
Avant de te rencontrée.
Et moi, moi
je ne t'ai jamais quitté.